Dans l’atelier feutré d’un tailleur parisien, les aiguilles glissaient avec une rigueur méticuleuse sur les étoffes de soie et de laine. Chaque haute couture était un serment silencieux, chaque fil tissé une recrutement confectionnée à celle qui porterait le tenue. Pourtant, sur quelque siècles, quelque chose troublait l’artisan. Il avait https://mariogugrb.therainblog.com/32766555/les-aiguilles-de-la-destinee-inversé