Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son tradition, attendait que l’obsidienne traite à récent. La pierre noire semblait absorber la clarté lunaire, vibrer par-dessous la pression du vent, et assez fréquemment, sans éclairer, elle résonnait de cette voix https://jeffreyhrxch.bloggip.com/33965978/les-empreintes-effacées