Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro énergie cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par une acception imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, intentionnelle que tout dérèglement https://holdenqtspm.amoblog.com/les-jardins-de-verre-55801244