Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune action mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un sens indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, volontaire que tout dérèglement dans https://manuelngueo.wizzardsblog.com/33917152/la-morsure-du-flux