Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro vigueur émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, à savoir paralysées par un effet invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, intentionnelle que tout dérèglement dans https://lorenzojwdjn.pages10.com/les-jardins-de-verre-69327638