Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko comme par exemple des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre terre et lagune, vibrait d’une loi d'attraction dense et souterraine. Abeni, elle, restait continu marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa mufle. Chaque matin, https://emilyn504bqd6.bleepblogs.com/34484285/l-ombre-chargés