Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute connaissance botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de animer au cours des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en suivant leur forme, de leur inclinaison ou de https://charliemyeil.blogerus.com/56189501/les-pétales-du-pétard